MINISTÈRE DE LEMPLOI,
DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT
MINISTÈRE DE LA SANTÉ
ET DES SOLIDARITÉS
Direction générale de laction sociale
Sous-direction des personnes handicapées
Bureau des adultes handicapés (3B)
Circulaire DGAS/SD/3B no 2007-121 du 30 mars 2007 relative aux groupes dentraide mutuelle pour personnes handicapées psychiques
NOR : SANA0730225C
Date dapplication : immédiate.
Textes abrogés ou modifiés : néant.
Annexes :
Annexe I. - Tableau de bord des délégations de crédits aux GEM
Annexe II. - Fiche de suivi dun GEM
Annexe III. - Relative au financement des GEM en 2007
Le ministre de la santé et des solidarités, le ministre délégué à la sécurité sociale, aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la famille à Mesdames et Messieurs les préfets de région (directions régionales des affaires sanitaires et sociales[pour attribution]) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (directions départementales des affaires sanitaires et sociales [pour attribution]).
Les travaux du comité national de suivi groupes dentraide mutuelle pour personnes handicapées psychiques (GEM) ont permis de faire le point, avec des représentants des associations concernées (UNAFAM, FNAP-Psy, fédération daide à la santé mentale Croix-Marine) et des services déconcentrés, sur les conditions de mise en place de ces groupes prévus par la circulaire du 29 août 2005
Il ressort de cette rencontre et des éléments que vous aviez bien voulu communiquer à la DGAS un certain nombre de constats que je souhaite vous communiquer.
1. Bilan de linstallation et du financement des GEM
au cours du 4e trimestre 2006
En 2006, 18 M ont été délégués aux DRASS (la troisième et dernière délégation étant intervenue le 13 octobre) au titre de la participation de lEtat au financement de 259 GEM, dont 142 créés en 2006. Vous voudrez bien trouver, en annexe 1, le tableau de bord des opérations ayant donné lieu en 2006 à des délégations de crédits de la DGAS.
Au début du 4e trimestre 2006, 14 départements métropolitains (cf. note 1) navaient pas sollicité de crédits, ce qui ne signifie pas nécessairement quil nexiste aucune structure sapparentant à un GEM dans ces départements, ou quil nexiste aucun projet de ce type en préparation. Ainsi, des initiatives sont signalées dans le Val-dOise, les Alpes de Haute-Provence, lOise ou en Haute-Corse. Dans les départements de loutre-mer, seule la DDASS de la Guadeloupe a demandé à ce jour un financement pour de telles structures (3 dossiers GEM ont été montés en liaison étroite avec les services de lEtat et ont vocation de par les sites retenus à couvrir lensemble des bassins de vie du département).
Le maillage géographique sest donc singulièrement renforcé ces derniers mois sous limpulsion conjointe de lUNAFAM, de la FNAP-Psy et de la fédération daide à la santé mentale Croix-Marine, mais aussi en raison dune écoute et dune implication de plus en plus fortes des DDASS et des DRASS dans ce domaine. Il apparaît également que les professionnels de santé perçoivent lintérêt de cette démarche, en faisant bien la distinction entre les GEM et les initiatives de type « club thérapeutique » qui répondent à dautres besoins, et sont demandeurs de partages dexpériences.
Ce consensus sur lutilité des GEM, à la fois comme moyen de partage entre usagers mais aussi douverture sur la vie de la cité, ne doit pas cependant occulter quelques divergences dinterprétation sur le terrain qui méritent dêtre évoquées et corrigées lorsquelles peuvent contrarier les objectifs dun dispositif original et qui ne peut être confondu avec lintervention détablissements et de services médico-sociaux.
2. Les clarifications nécessaires
Le GEM comme facteur dautonomisation des personnes
Les GEM sont créés pour favoriser lautonomie des patients. Ce présupposé est incompatible avec une approche de type tutélaire qui entretiendrait une relation de dépendance.
Ainsi, lorsque les usagers nont pas pris eux-mêmes linitiative, en créant une association, de constituer un GEM et nen assument pas pleinement la conduite, lorganisme de parrainage et lorganisme gestionnaire, en tenant compte de la fragilité des personnes, doivent accompagner lévolution du GEM vers lautonomie la plus large.
Ce principe dorganisation des GEM conditionne très largement le degré dautonomie et de responsabilité effectives des personnes handicapées psychiques. Il nexclut pas que ces dernières se fassent aider par des professionnels pour le fonctionnement et lanimation au quotidien de la structure, ce que rend possible la subvention versée par lEtat.
Certains documents relatifs à lorganisation interne de GEM existants révèlent des dispositions imposant aux usagers des obligations non acceptables : obligation deffectuer une période dessai, obligation de communiquer le nom dune personne de confiance et du médecin traitant avec engagement à rencontrer celui-ci régulièrement. Cest au GEM de prendre les accords utiles avec les services de soins en cas durgence et à lusager du groupe de communiquer, sil le souhaite, certaines informations pouvant faciliter un contact en cas de besoin.
Les associations têtes de réseau semploieront à faire corriger ces documents. Il conviendra que les DDASS invitent également, en tant que de besoin, les responsables des GEM, ou les organismes qui les gèrent, à modifier les règlements intérieurs imposant de telles pratiques. La conclusion en 2007 des avenants aux conventions déjà passées sera loccasion de sassurer que le nécessaire a été fait.
Le parrainage
Il apparaît que les groupements parrainés par la FNAP-Psy sont directement gérés par leurs usagers. Ils peuvent cependant faire appel à un professionnel extérieur pour, entre autres, assurer la tenue de leur comptabilité ou létablissement des feuilles de paie des animateurs.
Parce quelle a souhaité rendre les GEM accessible aux personnes en situation de grande souffrance et parce que, dans cette perspective, elle considère que les services offerts impliquent des compétences particulières dans la durée, lUNAFAM a pris le parti de ne pas encourager la gestion directe des GEM par ses sections départementales. Elle privilégie en revanche le recours à des organismes gestionnaires confirmés, à charge pour ces derniers, en relation avec la section locale de lUNAFAM de préparer et doffrir en permanence aux usagers la possibilité de prendre, dans toute la mesure du possible, une responsabilité grandissante dans la gestion du groupe.
Pour la fédération daide à la santé mentale Croix-Marine, la gestion financière, les contraintes de sécurité et la législation du travail qui demandent une certaine technicité, peuvent être assurées par lorganisme de parrainage. En revanche, pour le fonctionnement au quotidien, cest à lassociation dusagers de lorganiser avec le soutien du ou des animateurs.
Dans tous les cas, il faut considérer le parrainage comme une façon de préparer les GEM à se prendre en main et un moyen de les épauler au démarrage et en cas de survenue ultérieure de difficultés. En cas de gestion du GEM par un organisme tiers, le comité national de suivi insiste sur la nécessité de veiller à ce que des stratégies de renforcement dimplantation, des impératifs purement gestionnaires ou des comportement trop directifs vis-à-vis des usagers ne dénaturent pas lessence des GEM. Ainsi une attention toute particulière doit être apportée aux intentions de ces organismes, à leur capacité à soutenir sans imposer, à rester disponibles en cas de besoin plus marqué et à seffacer quand la situation le permet.
Les GEM sadressant à des personnes fragilisées, pouvant tomber plus aisément sous lemprise de personnes ou dorganismes tentant pour des raisons diverses de les abuser, il est essentiel de bien vérifier qui sont les opérateurs et dexiger une parfaite transparence quant au mode de gestion et de fonctionnement du groupe. Cette transparence est la contrepartie indispensable de la souplesse voulue pour les GEM.
La nécessité détablir des partenariats
La circulaire du 29 août 2005 insiste fortement sur le partenariat, lequel constitue une obligation pour chaque GEM. Ainsi, au point 4 de lannexe 1 de la circulaire (cahier des charges), il est indiqué que : « Pour remplir ses objectifs dentraide et douverture sur la cité, le groupe doit établir des relations de partenariat avec différents organismes. »
Le comité national de suivi appelle fortement à linscription des GEM dans un réseau dacteurs impliquant nécessairement le secteur sanitaire (secteurs psychiatriques concernés) et les communes, mais aussi très utilement le secteur social et médico-social (exemple : SAVS, SAMSAH, foyers dhébergement, etc.). Ces partenariats peuvent notamment être formalisés au moyen de conventions.
De même, il apparaît indispensable de connaître les dispositions arrêtées par les partenaires pour fixer la conduite à tenir en cas dincident ou de situation pouvant provoquer un risque pour les personnes fréquentant le groupe, au-delà de la nécessité pour chaque groupe de souscrire une assurance responsabilité civile. Ces dispositions sur les conduites à tenir et sur les services et professionnels à consulter ou à alerter doivent être portées à la connaissance des utilisateurs du groupe et des animateurs.
Pour aider au partage dexpériences et faciliter la collaboration, certaines régions comme la Bretagne et les Pays-de-Loire ont mis en place un réseau interrégional (le collectif GEM ouest).
Le nombre dusagers
Si la circulaire du 29 août 2005 précisait que la dotation de lEtat pour le fonctionnement du GEM pouvait varier en fonction notamment de limportance du nombre dadhérents et, par voie de conséquence, des besoins danimation, le concept de « file active » ne paraît guère adapté pour des GEM qui nont pas la qualité de structures médico-sociales.
Sil est normal que le GEM indique le nombre de personnes susceptibles dêtre simultanément accueillies, le nombre de ses adhérents et son niveau de fréquentation, en revanche il ne convient pas de subordonner le versement de la contribution de lEtat à la communication dune liste nominative (noms et coordonnées) des personnes qui le fréquentent. Le GEM devra toutefois être en mesure de produire, en cas de visite de la DDASS, le document gardant la trace des adhésions enregistrées et du flux des personnes en liaison régulière avec le GEM. De même, des visites permettront-elles de constater leffectivité de lactivité et son mode de réalisation.
Il apparaît au comité national de suivi quau delà dun certain seuil (environ 50 usagers), il est préférable de constituer un nouveau groupe ou des antennes.
Le profil des animateurs
Les missions des animateurs ont été clairement décrites dans le cahier des charges des GEM. Sil doit sagir dun permanent justifiant dune expérience professionnelle dans la prise en charge de personnes rencontrant des difficultés ou présentant des troubles psychiques, la circulaire laisse au GEM le choix du type de professionnel auquel il confie ces fonctions. Cela nimpose pas, en particulier, de faire appel à un animateur diplômé au sens des conventions collectives en vigueur.
3. Le financement des GEM
Le versement de la subvention aux GEM
Deux pratiques ont eu cours concernant le versement de la subvention à un GEM :
- soit la subvention a été versée alors que le GEM venait dêtre créé mais nétait pas encore ouvert aux usagers, en particulier parce que les animateurs nétaient pas encore recrutés ou opérationnels ;
- soit la DDASS a différé le versement de la subvention jusquà louverture effective du GEM afin de pouvoir disposer de lensemble des éléments dont elle estime avoir besoin pour en fixer le montant.
La première pratique a été largement majoritaire et sexplique notamment par le fait que les DDASS, et cest particulièrement vrai pour la fin de lannée 2005, ne disposaient que de très peu de temps pour engager les crédits délégués par la DGAS. Cette pratique sest poursuivie en 2006 dans de nombreux départements. Elle peut être admise sous réserve que la DDASS procède bien à tous les contrôles nécessaires de conformité du « projet » avec le cahier des charges, et vérifie ultérieurement que louverture effective au public intervient dans des délais raisonnables et surtout en conformité avec le projet présenté par lassociation (en particulier pour les partenariats).
La seconde pratique très minoritaire, consistant à ne verser la subvention quà la condition dune ouverture effective ou, à tout le moins, imminente du GEM, est parfois à lorigine de situations de blocage, ladministration attendant la création voire louverture effective du GEM pour verser la subvention et le GEM attendant dêtre sûr de pouvoir disposer de la subvention avant de finaliser notamment les recrutements danimateurs. Pour cette raison, elle ne paraît pas très opportune.
Le montant de la subvention
La circulaire du 29 août 2005 signalait, à titre indicatif et dans lattente dune meilleure connaissance des coûts réels de fonctionnement de structures encore inédites, que le montant de laide apportée par lEtat, sous forme de subvention, pourrait atteindre en moyenne 75 000 en année pleine par groupe dentraide.
Ce montant ne constitue pas un minimum de subvention garanti à chaque GEM. Il convient den déterminer le niveau au vu de lanalyse de chaque dossier soumis. En particulier, la DDASS doit examiner létude des besoins à laquelle a procédé le GEM et les réponses quil entend leur apporter, notamment en termes danimation (nombre danimateurs), de conditions daccueil (qualité, emplacement et superficie des locaux), voire dorganisation sur un territoire (par exemple un GEM « centre » complété par une ou deux antennes de proximité). Doivent être pris en compte les cofinancements éventuels, ainsi que les moyens humains ou logistiques apportés dans le cadre des partenariats noués. Les associations têtes de réseau constatent elles-mêmes que la subvention versée aux GEM pour leur démarrage na pas nécessairement à être reconduite au même niveau par la suite.
Le montant de 75 000 ne pourra être dépassé que pour faire face à des circonstances ou à un mode dorganisation ayant un caractère exceptionnel : par exemple, un seul GEM dans le département qui oblige la structure à accueillir un nombre élevé de personnes et, par voie de conséquence, à mettre en place de larges plages douverture au public en recrutant les animateurs nécessaires, voire à créer des antennes locales pour démultiplier laction en direction des personnes handicapées.
Le fait que 14 départements métropolitains et 3 départements doutre-mer naient pas encore de GEM bénéficiant dune subvention de lEtat, que 17 départements nont quun seul groupe et que des GEM ont reçu en 2006 une subvention leur permettant de fonctionner sur plus dune année pleine influencera la répartition des 20 MEuro dont dispose en 2007 pour les GEM la DGAS grâce au fonds de concours alimenté, en application de la loi, par la CNSA.
Un travail doit par conséquent être conduit au niveau régional afin de proposer si nécessaire un rééquilibrage des crédits entre les départements afin de compléter la couverture du territoire. Cette proposition interviendra après concertation avec les DDASS qui auront établi leur propre ordre de priorité et ajusté, si nécessaire, les dotations prévues pour les GEM existants en fonction de lanalyse de leurs charges réelles en 2006 et des autres concours financiers ou matériels envisageables. Ce recalibrage du montant de certaines subventions et la remise en cause des conventions passées avec des organismes qui nont pas concrétisé leur projet ou nont pas respecté le cahier des charges pourront dégager une marge de manoeuvre très utile au profit du lancement de nouveaux projets.
4. Fiches de suivi des GEM et demande
de financement pour 2007
Un modèle de fiche de suivi des GEM était annexé à la circulaire du 29 août 2005. Vous trouverez, en annexe 2, un modèle actualisé permettant dopérer au plan national la synthèse des informations nécessaires au suivi de la mise en oeuvre du dispositif.
Ces fiches, à compléter par les services des DDASS ayant passé convention avec les associations et organismes gestionnaires des GEM, sont à adresser simultanément à la DRASS et à la DGAS (par messagerie électronique à camille.maillard-dojka@sante.gouv.fr).
Sur la base des fiches précitées, des opérations éventuellement déjà signalées dans le PRIAC et dun éventuel projet de rééquilibrage des financements antérieurement apportés aux départements de la région, les DRASS feront parvenir pour le 30 avril 2007 à la DGAS (par messagerie électronique à camille.maillard-dojka@sante.gouv.fr) une demande de financement au titre de 2007 en utilisant le modèle prévu en annexe III.
Cest à partir de ces informations et de ces demandes que pourront être opérées les délégations entre les DRASS de lenveloppe 2007 destinée aux GEM.
Le directeur général de laction sociale, J.-J Trégoat |
ANNEXE I
Tableau de bord des délégations de crédits
ANNEXE II
FICHE DE SUIVI DUN GROUPE DENTRAIDE MUTUELLE
Personne morale responsable du GEM (association dusagers, parrain ou autres)
Adresse
Commune
Code postal
Représentée par
Coordonnées et tél.
Dénomination du GEM
Adresse(s) (y compris des antennes)
Commune
Code postal
Date de création de lassociation dusagers (adhérents du GEM) :
Si lassociation dusagers nest pas encore créée : la convention de financement la prévoit-elle ? A quelle échéance ?
Date de signature de la convention de financement :
Le signataire de la convention de financement est-il lassociation dusagers ?
Oui
Non
Si non, précisez : parrain
Oui
Non
Autres :
Date douverture effective du GEM aux usagers :
Signature de la convention de parrainage :
Oui
Non
Association ou organisme parrain :
Forme juridique
Dénomination
Adresse
Commune
Code postal
Caractéristiques du groupe dentraide mutuelle :
Nombre de personnes susceptibles dêtre accueillies :
Nombre de personnes ayant adhéré :
Autres indications sur les usagers :
Document dadhésion prévu entre la personne et le groupe dentraide :
Oui
Non
Caractéristiques du lieu daccueil :
Les locaux sont-ils mis à disposition gratuitement ?
Oui
Non
Si oui, par quel type de partenaires ?
Commune
Etablissement hospitalier
Autre
Intervenants :
Nombre danimateurs salariés : Nombre dETP :
Fonctions :
Qualifications (diplômes ou expérience professionnelle ou expérience personnelle) :
Nombre danimateurs bénévoles :
Fonctions :
Qualifications (diplômes ou expérience professionnelle ou expérience personnelle) :
Activités :
Accueil des personnes, tous les ... (jours douverture), avec un horaire de ... heures à ... heures.
Nature des activités organisées et des services éventuellement proposés :
Gestion :
La gestion de la subvention est-elle gérée par le signataire de la convention de financement ?
Oui
Non
Si non, précisez quel est lorganisme gestionnaire :
Forme juridique | |
Dénomination juridique | |
Adresse | |
Commune | |
Code postal |
Partenariats établis ou en cours de finalisation : signature de conventions
Oui
Non
Si oui, indiquez les conventions passées :
Avec la commune du lieu dimplantation
Oui
Non
Avec les associations de patients ou familles dusagers
Oui
Non
Avec les secteurs psychiatriques concernés
Oui
Non
Et autres (MDPH, organismes sociaux, collectivités locales...) :
Financement :
Charges 2005 : Produits 2005 :
Montant de la subvention attribuée par la DDASS en 2005 :
Autres subventions :
Concours autres que financiers (exemple : mise à disposition de locaux, matériels) :
Charges 2006 : Produits 2006 :
Montants de la subvention attribuée par la DDASS en 2006 :
Autres subventions :
Concours autres que financiers (exemple : mise à disposition de locaux, matériels) :
Charges 2007 : Produits 2007 :
Montant de la subvention quil est prévu dattribuer en 2007 :
Autres subventions :
Concours autres que financiers (exemple : mise à disposition de locaux, matériels) :
Appréciation générale
1. Ce GEM a-t-il fait lobjet dune visite de la DDASS ?
Oui
Non
Si oui, quelle appréciation cette visite permet-elle de porter sur le fonctionnement du GEM ?
Si non, quels autres éléments dappréciation ont-ils été réunis ?
2. Modalités dexercice du parrainage et effets escomptés sur lassociation des usagers ?
3. Si le GEM est géré par un organisme tiers, quelle est la place laissée aux usagers dans son organisation et des étapes sont-elles prévues vers une gestion directe du GEM par lassociation des usagers ?
4. Le cahier des charges est-il appliqué ? Si non, quels sont les écarts constatés et leur explication ?
5. Les moyens, les modalités de fonctionnement et les activités prévues sont-ils réellement mis en oeuvre ?
6. Les moyens financiers alloués par lEtat au GEM doivent-ils être revus ? Si oui, pourquoi et de quelle manière ?
Autres observations et commentaires
ANNEXE III
Exercice 2007
Financement des groupes dentraide mutuelle
Numéro de département |
DÉNOMINATION du GEM |
ASSOCIATION ou organisme support du GEM |
COMMUNE dimplantation |
FINANCEMENT de lEtat attribué en 2005 |
FINANCEMENT de lEtat attribué en 2006 |
FINANCEMENT de lEtat prévu en 2007 |
OBSERVATIONS succintes |
---|
Les GEM inscrits dans ce tableau vous semblent-ils couvrir les besoins ?
Combien y a-t-il dautres projets en attente ou en préparation ?
Y a-t-il eu des dissolutions ou des fermetures de GEM en 2006 ? Si oui, précisez.
Observations et commentaires
NOTE (S) :
(1) Cantal, Puy-de-Dôme, Ardennes, Corse du Sud, Haute-Corse, Haute-Saône, Territoire de Belfort, Val-dOise, Aude, Aveyron, Pas-de-Calais, Oise, Alpes-de-Haute-Provence et Ardèche.