Chaque année, entre 150 000 et 200 000 personnes ont besoin de soins palliatifs. Souvent, ce moment de vie – bien que prévisible – survient de manière brutale, au risque de laisser les malades et leur entourage dans le désarroi.

C’est bien pour garantir une fin de vie digne et apaisée que les pouvoirs publics ont engagé depuis plusieurs années des efforts significatifs pour augmenter les moyens et les ressources nécessaires : notamment, le nombre de structures, d’unités ou d’équipes à même d’accueillir, d’accompagner, de réconforter dans cette période si forte et particulière.

Les soins palliatifs ne remplacent pas les soins médicaux « classiques » : ils les complètent puis s’y substituent totalement. L’objectif n’est pas de guérir mais de préserver jusqu’à la fin la qualité de vie des personnes et de leur entourage.